Soutenances publiques des mémoires de DNSEP Art
Programme
9 h 30 : Tess Grzes
Expérience - Etats modifiés de conscience - Hypnose
À travers ce mémoire, je traite des états modifiés de conscience et des médecines alternatives. Je cherche à comprendre pourquoi les artistes contemporain-es décident de s'en emparer pour créer dans notre société aujourd'hui, notamment par l'hypnose.
10 h 00 : Alison Vignault
Présences – Surgissement de l’auteur-photographe dans le portrait contemporain
Si l’auteur-photographe était aussi bien derrière l’image que dans l’image, quelles seraient les formes de sa présence ?
À travers ce postulat, j’ai exploré différentes formes de présences physiques ou mentales du photographe dans son œuvre. En partant de mes références photographiques, j’ai nommé cinq familles de présences : la famille des « Avérées », la famille des « Prétendues », la famille des « Entendues », la famille des « Défiantes », puis la famille des« Confidentes ».
Pourquoi ces présences ressortent-elles notamment dans le portrait photographique ? En quoi ces présences marquent-elles un enjeu ?
10 h 30 : Vincent Broute
Big Evil
Dans ce mémoire, la question est de savoir si les productions visuelles sont au service d'une irruption massive de la violence ou sont susceptibles d'un traitement symbolique. Le visible nous affecte tant qu'il a affaire avec la puissance du désir et qu'il nous met en demeure de trouver les moyens d'aimer ou de haïr ensemble. Toute visibilité engage les esprits et les corps à entretenir avec ces violences un rapport constructif ou destructeur.
11 h 00 : Mihye Sim
Le détail de la relation
Dans ce mémoire, nous observons quatre artistes orientaux entre le 13ème siècle et le 19ème siècle. Mimi nous donne son point de vue personnel lié à la relation, notamment à travers l'espace de la réserve et l'intensité de l'être dans la peinture. Son mémoire sous forme de dessin animé met en scène deux personnages qui montrent le processus d'écriture et de recherche.
11 h 30 : Délibérations de la matinée et pause
13 h 30 : Barbara Lutun
Le monstre et les frères Chapman
Le monstre. Cet être aussi dérangeant que fascinant, a toujours eu une place privilégiée dans l'histoire de l'art. Sa place a cependant énormément évolué et son apparence a aujourd'hui beaucoup changé. Quand hier il prenait la forme d'êtres fantastiques, aujourd'hui il semble plus proche de l'être humain qu'il ne l'a jamais été. Il devient de ce fait plus mystérieux, plus inaccessible, plus difficile à déchiffrer.
Les frères Chapman eux, ont souvent utilisé l'univers du monstre dans leurs œuvres. Cependant, le monstre n'est jamais vraiment là. Pourtant, sa présence est palpable, presque évidente. En m'intéressant principalement à trois de leurs œuvres, j'ai décidé dans ce mémoire de chercher pourquoi l'ombre du monstre était si présente dans le travail des deux enfants terribles de l'art contemporain.
14 h 00 : Raphel Andres
Brother
À partir d'une publicité Samsung, j'ai interrogé nos relations avec les nouvelles technologies et la représentation des personnes noires dans les médias états-uniens.
14 h 30 : Elise Cressely
En veille : images sous écran total
Récits d'un quotidien sous surveillance où les jeux de (Nov)langues questionnent notre rapport à la technologie et aux environnements clos.
15 h 00 : Julie Cassio
Graffiti et institutions
L’essence du graffiti est-elle compatible avec les institutions tel-les que les galeries et les musées ? Et comment les graffeurs sont-ils devenus artistes ?
15h 30 : Délibérations de l’après-midi
16 h 00 : Résultats du jury