Aller au contenu principal

Exposition

Corps (dés)accords

Du 9 au 30 octobre 2021
Publié le 17/09/2021

Julie Castagné, Maude Guirault, diplômée de TALM-Le Mans, et Fred Morin, professeur à TALM-Tours, participent à l'exposition Corps (dés)Accords, organisée par le collectif Play Mode.
Cette exposition aura lieu du 09 au 31 octobre 2021 au Centre des Expositions Paul Courboulay.

Vernissage le samedi 09 octobre à 18h30
Centre des expositions, 2 rue Paul Courboulay

Ouverture du mardi au vendredi de 14h à 18h / samedi et dimanche de 11h à 19h
Entrée libre

Voir aussi

INCIPIT

Diplômé·es 2021 des Beaux-arts d'Angers

Du 13 au 27 septembre 2021
Publié le 09/09/2021

Incipit, l'indicatif du verbe inciperer signifie "prendre en main, commencer".
Cette exposition au nom significatif est la réunion des pratiques artistiques d'artistes fraîchement diplômé·es réunie dans l'annexe Giffard de l'ESAD TALM-Angers. Entièrement organisé par les artistes-designers eux-même, cette manifestation collective représente un moment fort de professionnalisation des étudiant·es qui ont également pris en charge la conception d'une édition rendant accessible leurs contacts et portfolio respectifs. 

" Les événements qui ont ponctué nos études nous ont apporté une force collective et un capacité de partage de chacun·e : une leçon essentielle que l'on retiendra. Il faut essayer, échouer et recommencer jusqu'à réussir. D'instant personnels ou collectifs, de références hétéroclites, de discussions sur un coin de table, nos influences croisent tout les champs artistiques. "

4ème de couverture de l'édition Incipit

Joshua Durant
– 24 RUE DES MARTINS PECHEURS

Du 17 septembre au 9 octobre 2021
Publié le 09/09/2021

Exposition de Joshua Durant, artiste plasticien et musicien diplômé de TALM-Angers en 2019 . 
Alliant dessin, principalement au fusain, et compositions musicales, il expérimente depuis quelques années l’élaboration d’un imaginaire louvoyant dont il est le spectateur curieux et l’orchestrateur. Il l’enrichit de multiples pérégrinations mentales, de récits de voyages, d’amas d’objets récoltés dans l’étroit cabinet de curiosités du domicile familial.

« Musiciens et guides d’expéditions, nombreux à bords de barques atypiques, aux poupes surélevées, s’approchent au plus près de colosses massifs de glace à la dérive. L’un deux, désigné par la majorité, se poste au signal, au plus haut de l’embarcation, et de ses mains marque l’un des blocs d’un rouge vif, quelques symboles et indéchiffrables vers. Succédant aux marquages, des chants épars de femmes s’élèvent de canots éloignés, vites étouffés par une brume opaque et persistante, sonnant comme un point final à la commémoration. J’aidais au maniement de roues à aubes centrales, lourdes, permettant dès lors, en marche, la poursuite de notre calme avancée. Les inoccupés à l’avant, reprenaient leurs postures initiales, blottis les uns contre les autres, ne formant plus qu’un seul et même amas de fourrure mouvant, d’où de temps en temps s’échappaient, quand un enfant baillait, quelques blanches exhalaisons. Nous laissions derrière nous un paysage tacheté, comme parsemé de fines plaies ouvertes que les neiges à venir cicatriseront. »

Joshua Durant 

LA QUINZAINE RADIEUSE

Du 18 septembre au 17 octobre 2021
Publié le 06/09/2021

La 13ème édition de La Quinzaine radieuse organisée chaque année à Piacé le radieux, Bézard – Le Corbusier débutera avec les Journées européennes du patrimoine (week-end du 18-19 sept. 2021) et se clôturera avec les Journées nationales de l’Architecture (week-end du 16-17 Octobre 2021). Comme chaque année, elle mariera architecture, design et art contemporain et prendra des airs de vacances prolongées !

C'est également l'occasion de (re)découvrir le travail de Louis Lepère, tout juste diplômé d'un DNSEP Art avec félicitations à TALM-Le Mans. 

 

Zoom sur Louis Lepere

« Récemment diplômé, Louis Lepère explique que la matière de son travail est la mémoire, l’architecture brutaliste et ses voyages. Articulant de front ses références et les rendant lisibles (entre citations franches et influences délicates), il montre des capacités à jouer avec des objets aussi divers qu’une colonne sans fin de Brancusi ou une architecture de Claude Parent. C’est d’abord un artiste sensationnaliste, qui fait l’expérience des espaces lors de ses très nombreux voyages et qui décide de les rejouer avec rigueur mais aussi parfois ironie.
La sculpture rencontre la photographie qui à son tour rencontre la gravure. Louis Lepère passe de l’une à l’autre comme il passe de la Roumanie à l’Ukraine, de l’architecture à la sculpture.
C’est cette capacité à jouer, regarder, aimer et aussi à vouloir ressaisir la poétique des espaces qui est le fil conducteur de son travail. Ses matériaux, pour la plupart de récupération, subissent alors une sorte d’adoubement par le jeu des outils et retrouvent une dignité presque précieuse un peu comme le feraient des formes platoniciennes posées dans un cabinet de curiosités. Il sait faire de perles de verre trouvées sur les plages des mosaïques sur des morceaux de béton pour rendre hommage à celles des anciens pays soviétiques. Il sait sculpter le creux des sculptures de Brancusi ou fabriquer des maquettes avec une balustrade d’immeuble moderniste de Le Couteur en démolition. Et quand la finesse et son ambition brisent une aiguille de bois trop longue et trop fine, il fera un pansement en granit à sa sculpture dont les serre-joints, loin de le gêner, diront la franchise de l’accident. C’est sa délicatesse, celle d’un artiste jeune certes mais ayant décidé de faire de ses attachements intuitifs le premier pas d’un travail qui s’oriente maintenant franchement vers la sculpture. »
David Liaudet

 

Piacé le radieux, Bézard – Le Corbusier

Centre d’art dédié à l’architecture, le design et l’art contemporain. Lieu de réflexion et de recherche sur le territoire et le patrimoine local, il est également un lieu de diffusion et de promotion de la création contemporaine. Il est situé à Piacé (entre Le Mans et Alençon), petit village de la Sarthe qui a fait l’objet dans les années 1930 d’un projet architectural de Le Corbusier (1887-1965) et Norbert Bézard (1896-1956).

LA QUINZAINE RADIEUSE 13

M. Rebecq / Andrea Crews – B. Bufalino – G. Candilis – L. Lepère –  M. Leschelier – C. Mesquita – Mrzyk & Moriceau – C. Ragot –  M.c. Salò – O. Vadrot
Parcours, Exposition collective
Différents sites du village : Espace Bézard-Le Corbusier, Kub d’Or, Moulin de Blaireau
Entrée libre / Pass sanitaire pour les salles d’exposition
​Vernissage sur l’île du Moulin samedi 18 septembre à partir de 18h30
Samedi & Dimanche 14h30-18h et sur rdv
 

Campagne urbaine 2

Exposition de Corentin Gaborit au centre d’art Luxfer Open Space

Du 17 juillet au 28 août 2021
Publié le 16/07/2021

Au terme d’une résidence de près de trois semaines, le centre d’art Luxfer Open Space à Česká Skalice (République Tchèque)présente une exposition de photographie de Corentin Gaborit, étudiant en DNSEP Art à l'École supérieure d'art et de design TALM-Le Mans.

Sous le titre Campagne urbaine 2, Corentin Gaborit y présente 26 tirages photographiques issus de son travail sur les paysages intermédiaires autour de Česká Skalice, dans le prolongement de sa recherche photographique.

La résidence au sein de Luxfer Open Space, centre d’art dynamique situé dans une petite ville du nord de la Tchéquie, est la première initiative d’un programme d’échange entre TALM et Luxfer Open Space. Elle permet à des élèves-artistes ou de jeunes artistes diplômés de mener un projet et une expérience de production dans les contextes respectifs de l’école TALM-Le Mans, avec ses moyens de réalisation propres, et du centre d’art, à la programmation exigeante et réfléchie à partir de sa situation périphérique.

La convention TALM-Le Mans/Luxfer Open Space est portée par Roman Rejhold, qui dirige l’institution à Česká Skalice et Christophe Domino, enseignant au Mans.

 

Voir aussi

Paysage vécu, Paysage perçu

aux Ateliers Jean Moulin

Jusqu'au 25 Juin
Publié le 16/06/2021

Thématique de l'Atelier B.A.D

Paysage vécu et paysage perçu. 
Le paysage vécu se compose depuis l'intérieur par les habitants. C'est un cadre de vie et de travail ordinaire au sein duquel, jour après jour, siècle après siècle, les usages façonnent localement les formes et les habitudes. Le paysage perçu est abordé depuis l'extérieur par les visiteurs, qui traversent temporairement le territoire et sont accueillis par ses habitants. Il est appréhendé de manière spectaculaire et se fixe dans la visite. Les changements provoqués par les flux et les pressions (anthropiques, géologiques, etc.) sont considérés comme des pertes irrémédiables et contredisent à la fois l'attache des habitants au territoire et l'attente des visiteurs d'un paysage immuable.

Ces appréhensions divergentes du paysage, somme d’expériences plurielles se cristallisent dans des rapports et des tensions s'inscrivant sur des territoires en transition, au sein desquels des populations différentes composent et font société. En tant que designer, travailler le paysage, comme cadre de vie et comme objet à consommer, c'est proposer, des outils / des instruments signifiants pour tous, culturels, économiques, d’usages, etc. aptes à mettre en dialogue des personnes et des environnements afin de faire naître des perspectives de partage compréhensibles et acceptables par tous. 

Cet atelier est mené par Denis Brillet, architecte, David Enon, designer, Jérôme Pasquet, historien de l’art et Harold Guérin, artiste invité.
Les élèves exposés sont : Louise Asseray, Ana Balderas, Alizée Bouchardie, Camille Chappey, Laurie Demir, Claire Durand, Sylvain Enault, Rong Fan, Charlène Ganche, Laurine Germon, Sarrah Haouas, Florence Hamon, Léa Herbeck, Maera Lepesant, Nikolay Morozov, Hyeongyeong Park, Romane Perdriau, Caroline Piveteau, Charlotte Sadowczyk et Enzo Winum

Présentation du second cycle B.A.D. 

Le master B.A.D. convoque une porosité entre trois disciplines de la création : beaux-arts, architecture et design. La formation recourt à des outils pour provoquer des croisements dans les manières de faire et de penser. Art, architecture et design structurent l’enseignement au sein d’ateliers où chacun de ces domaines est représenté. L’élève, acteur de sa formation, est appelé à développer un travail singulier à la croisée de ces disciplines.

Dans un premier temps, B.A.D. cherche à questionner la commande pour en expérimenter les limites, les usages, les fonctions et les contextes. Pour ce faire, l’option recourt à la création de formes qui peuvent être aussi bien une fiction, un récit alternatif, un objet industriel prospectif ou une architecture issue du paysage. Toutes ses formes sont à même de proposer une autre façon, concrète et plausible, d’aborder le réel. Le designer est un passeur qui sait se départir des conventions et des idées reçues pour dessiner un monde en devenir.

B.A.D. se caractérise par son esprit critique, questionne les systèmes économiques, politiques ou encore sociaux et comme toute forme de création, propose une autre vision du monde.

Ateliers Jean Moulin 
27 rue de la république 
29780 Plouhinec

Entrée Libre du 3 au 25 juin  
9h00-12h00 / 14h00 

Voir aussi

Passage Textiles

Exposition des diplômé·es 2020 de Techniques Textiles

Jusqu'au 20 juin
Publié le 15/06/2021

Sur une invitation de Rives d'Art, soutenu par la municipalité des Ponts-de-Cé. 
Cette exposition met à l’honneur le travail de 6 ancien·ne·s élèves de la mention Techniques Textiles : Antoine Vidal, Margaux Pleyber, Naïs Ornada, Yujin Won, Qiuqin Lyu et Julie Frémondière. 

​L'expostion 

NAGER ENTRE DEUX EAUX
"Dans ce très bel espace qu’est Rive d’Arts situé en bord de Loire sur la commune des Ponts-de-Cé, une invitation a été faite à l’École supérieure d’art et de design d’Angers et à sa mention Techniques Textiles pour présenter ses réalisations. Cette circonstance amène à définir le rôle d’une école d’art aujourd’hui qui serait comme l’Île au Bourg et Rive d’Arts, un site entre deux flux, ceux des savoir-faire et de la création contemporaine, deux courants entre lesquels il n’est plus nécessaire d’osciller, l’indécision étant une force dans le domaine artistique. Cette position fluctuante mais affirmée comme telle, se réfléchie très bien dans ce lieu emblématique où se côtoient des artistes et des professionnels des métiers d’art, réunis dans une communauté de travail et d’esprit qui fait écho à la dynamique d’une école d’art du XXIe siècle. Il apparait ainsi naturel que les élèves de la mention Techniques textiles puissent se retrouver dans ce très beau lieu, marqué par sa grande ouverture sur la Loire, à travers une présentation de leurs recherches, rejouant et reformulant le vocabulaire du textile dans un entrelacement fécond et expérimental. Ce projet collaboratif témoigne d’une volonté forte de partenariat durable entre un établissement d’enseignement supérieur et un espace de création professionnel reconnus dans leurs domaines respectifs. L’enjeu, à terme, étant de créer une proximité entre ces deux lieux dans une perspective d’enrichissement mutuel. Je tiens à remercier la Ville des Ponts-de-Cé, Rive d’Arts et Sandrine Pincemaille, professeure à l’ESAD TALM-Angers ainsi que les élèves de l’ESAD pour la qualité du projet et pour leur collaboration."

Antoine Réguillon, Directeur ESAD TALM-Angers

​

LA DIVERSITÉ TEXTILE EN PROJET COMMUN 
Qu’iels s’en approprient les techniques ou les matières, les artistes fraîchement diplôméX réuniX dans cette exposition ont comme point commun l’art textile, dans toute sa diversité. L’étoffe, cette matière souple, englobe deux procédés majeurs à sa fabrication : en croisant ensemble des fils verticaux et horizontaux, ou par l’entrelacement d’un même fil, on bâtit respectivement le tissu et la maille. Dès lors, l’entrelacement, les réseaux et les liens deviennent le fondement et la symbolique du textile. C’est justement ce vers quoi leur attirance pour la fibre les a guidéX; la rencontre fortuite qui a fait d’eulleux un groupe, une classe. Au sein de l’ESAD (École Supérieure d’Art et de Design) d’Angers, il existe une formation dite des Techniques Textiles qui questionne toutes les formes d’arts textiles actuels. C’est là qu’en tant qu’étudiantX, iels ont, chacun.e à leur manière, avec leurs pratiques et leurs préoccupations, construit leur rapport au fil, leur vision de cette pratique… mais aussi vécu le temps de l’atelier, si cher aux « travaux d’aiguille », où les savoirs et les idées se diffusent et les singularités s’exaltent. Dans cette exposition, chaque pièce présentée est extraite d’un ensemble, leur projet de diplôme, afin de faire apparaître à la fois cette émulation collective, et les différences de chacun.e. 

Antoine Vidal, Margaux Pleyber, Naïs Ornada, Yujin Won,
Qiuqin Lyu et Julie Frémondière

Rives d'art, un lieu artistique des Ponts-de-Cé

Ce lieu conjugeant ÉCONOMIE CRÉATIVE & CRÉATION EN BORD DE LOIRE, est une friche industrielle réhabilitée. Constitué également d'un pôle Hotellerie et Restauration, le pôle création de cette structure consiste en un véritable rendez-vous donné à l’économie créative avec 3 activités : 

  • Des ateliers ouverts à la location pour des professionnels issus de l'économie créative
  • Des expositions d'Art visuel professionnelles qui vous invite dans les coulisses de la création
  •  Des événementiels ouverts au grand public ou privés

en savoir plus sur le cursus concerné

L’Atelier des mémoires vives et imaginaires : Art, informatique et cybernétique

Les relations entre l'art et l'informatique exposées à Poitiers

Du 1er juillet au 31 octobre 2021
Publié le 11/06/2021

Avec des œuvres de : Les élèves de l'atelier D2G, Félix AGID - Professeur de TALM-Le Mans , Philippe HURTEAU, Alain DECLERCQ et Pierre Besson – Anciens professeurs de TALM-Angers, Arthur CHIRON, Guillaume BOISSINOT et Wilfried THIERRY – anciens élèves de TALM-Angers, Bernard Calet – professeur TALM-Angers.

Du 1er juillet au 31 octobre 2021, le Miroir de Poitiers présente l’exposition « L’Atelier des mémoires vives et imaginaires : Art, informatique et cybernétique » qui raconte une histoire des relations entre l’art et l’informatique.

Alors même que l’informatique, la cybernétique et les nouveaux médias ont connu en près de soixante années des développement sentropiques qui ont littéralement changé nosmodes de perception, et plus encore nos modes de vie à travers toute la planète, des artistes, des architectes, des graphistes, des musiciens, des danseurs, des théoriciens...n’ont cessé d’utiliser ces nouveaux outils, pour mieux les interroger, les détourner, les mettre en question et en donner une perception autre, entre science et imaginaire.

Partant de cet événement originel, l’exposition se propose d’explorer un ensemble de démarches très diverses, depuis la fin des années 1960 jusqu’à aujourd’hui. Réinvention ou détournement de l’objet, travail sur le langage, le code, les algorithmes, etc... Ces approches produisent des formes et des objets singuliers, ainsi que des images surprenantes, parfois stupéfiantes, qui nous offrent à la fois un plaisir de contemplation, mais aussi un recul critique et citoyen sur ce « Big Brother » qui recouvre nos existences.

Un comissariat d'exposition par Christophe Le Gac, professeur à l'ESAD TALM-Angers, qui est à l'initiative de l'exposition collaborative avec les étudiant.es.

Dans le cadre de l'arc Design Game Global ou l'idée de paradis de synthèse, Christophe Le Gac à questionné les élèves sur la place réservée au corps physique dans et autour des jeux vidéo.
L’objectif des élèves est de réfléchir aux trois interfaces en jeu : L’interface homme-écran (peinture, cinéma, vidéo, jeu vidéoludique, etc), L’interface homme-dispositif de diffusion (installation, architecture, scénographie, etc), L’interface homme-outil de navigation (les yeux, les mains, les objets techniques, etc).
Ainsi, les étudiant.es ont tenté de créer "un paradis de synthèse" sur l’interaction entre le corps, l’espace, le temps et l’écran. Passant par tout types de supports, ce "paradis de synthèse" est retranscrit dans l'exposition « L’Atelier des mémoires vives et imaginaires : Art, informatique et cybernétique ».

L’exposition est aussi l’occasion de produire une œuvre originale de l'artiste Pierre Besson.

Cette création viendra dialoguer avec l’architecture de la chapelle, telle une sculpture monumentale issue d’un effet d’agrandissement depuis un minuscule composant informatique dans lequel le public pénétrera.
 

La scénographie de l’exposition s’inspire des cartes mères et des circuits imprimés, occupant ainsi la totalité de la surface au sol de la chapelle Saint-Louis. C’est donc une fois de plus une stimulante confrontation qui est proposée entre des esthétiques diamétralement opposées, le baroque de la chapelle Saint-Louis et le high-tech de l’informatique.

L’Atelier des mémoires vives et imaginaires,
Art, informatique et cybernétique (1968-2021)
 
Une exposition du Miroir de Poitiers, Chapelle Saint-Louis, 4 rue Louis Renard Poitiers 
1ER JUILLET – 31 OCTOBRE 2021
 
Direction artistique : Jean-Luc Dorchies
Commissariat associé : Christophe Le Gac
Artiste associé : Pierre Besson
 
Des périphériques à l’exposition : Un vaste programme d’animations rythmera l’exposition de juillet à octobre : visites commentées, formations et stages tous publics, conférences, etc.

Voir aussi

Ma Terre, Matières

Exposition au Musée de la faïence et de la céramique de Malicorne

Du 12 juin au 18 novembre 2021
Publié le 08/06/2021

Du 12 juin au 28 novembre 2021, le Musée de la faïence et de la céramique de Malicorne présente l’exposition Ma Terre/Matières et pose la question de l’impact environnemental des objets du quotidien au fil des siècles, notamment les céramiques.

Matériau incontournable dans la vie quotidienne, l’argile est délaissée au profit de matières comme le plastique. Ces objets sont aujourd’hui remis en question. Modes de vie, nouvelles habitudes de consommation, empreinte écologique... nombreux sont les facteurs expliquant ces évolutions.
Céramique, verre, métal ou plastique, chacun de ces matériaux caractérise une époque, une société, ses besoins et ses habitudes de consommation. 


Si l’exposition présente l’évolution d’objets de notre quotidien du néolithique à aujourd’hui, elle invite également à imaginer les évolutions de demain.
C’est dans ce sens que l'École supérieure d'art et de design TALM-Le Mans, conjuguant innovation, technicité, recherche et création, a été appelée à prêter certaines pièces produites par les élèves de la mention Design computationnel et mécatronique.
 

Sont présentés : 

- Des pièces réalisées dans le cadre du workshop Clay printing par Gabrielle Desille, Victoria Kawohl et Paul Maure, dirigé par Andrea Graziano ;
- Pièces réalisées par Yudong Yin et Lucas Pierrisnard dans le cadre du projet de recherche Clayworks ;
- Pièces réalisées par Tristan Diguet dans le cadre du projet de DNSEP mention Design computationnel et mécatronique (2020).  

Exposition réalisée en partenariat avec le Musée de la faïence et de la céramique de Malicorne, les musées du Mans et l'École supérieure d'art et de design TALM-Le Mans.

« Ma terre, Matières », du 12 juin au 28 novembre 2021
Visible aux heures d'ouverture du Musée.

Musée de la faïence et de la céramique à Malicorne
Rue Victor Hugo, 72270 Malicorne-sur-Sarthe
Exposition comprise dans le billet musée, plein tarif 5 € ou exposition temporaire seule, tarif 3 €

Voir aussi

Scènes de la vie en couleur

Exposition personnelle d'Alice Hervé

Du 18 juin au 29 août 2021
Publié le 03/06/2021

Alice Hervé, diplômée d'un DNSEP Art en 2019 à TALM-Le Mans expose son travail du 18 juin au 29 août à l'Hôtel de ville du Mans dans son exposition personnelle « Scènes de la vie en couleurs ». 
 

L’exposition « Scènes de la vie en couleur » regroupe une vingtaine de peintures figuratives et quelques tirages de gravure. Certaines des toiles ont été peintes lors de ses études à l’École Supérieure d’Art et de Design TALM-Le Mans, d'autres ont été réalisées dans ces deux dernières années aux Ateliers d’Artistes de la Ville du Mans. 

« J’aime utiliser des images simples, puissantes dans la couleur mais ordinaires dans le sujet. Je peins ce qui m’entoure, des scènes de mon quotidien, mes amis, des objets de culture, de consommation ou encore des images récupérées sur internet. Je suis fortement influencée par le Pop Art,  avec entre autres, David Hockney, Alex Katz, Roy Lichtenstein et Keith Haring.

J’aime le médium de la peinture car il est très ancien mais j’ai la conviction qu’il pourra toujours être apprécié même dans un monde contemporain ultra numérisé, et ce, qu’on soit initié à l’histoire de l’art ou non.La photographie n’est pas une fin pour moi mais un outil. J’utilise la plupart du temps des photos personnelles dans la composition de mes toiles, je les découpe, je les recadre, j’en change les couleurs, je les regroupe et les assemble, souvent dans de grands formats. Ce remaniement me détache plus ou moins de l’intimité de ces images au départ autobiographiques. 

Il en résulte une peinture entre documentaire et fiction. Si j’utilise ces termes c’est que ma première passion est le cinéma et qu’il m’inspire aussi beaucoup, d’une certaine manière, dans mon travail de peinture. »

Scènes de la vie en couleur, exposition personnelle d'Alice Hervé
Du 18 juin au 29 août 2021
Vernissage: Le vendredi 18 juin à 12h

Hôtel de ville
1 Place Saint-Pierre, 72000 Le Mans
Horaires d'ouverture: Du lundi au samedi de 8h30-12h00 et 13h-17h

Voir aussi